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jeudi 20 juillet 2017

Home / Religion / Islam / Mariée à huit ans, la petite musulmane ne survivra pas à sa nuit de noce sur son lit rouge de son sang

Publié par Rosaly le 23 mai 2013

En Occident, nos petites filles de huit ans se dĂ©guisent joyeusement en princesse, en Afghanistan, elles revĂȘtent tristement la longue robe de l’esclavage, le jour de leur mariage
 forcĂ©.

Voici l’histoire poignante d’une petite fille afghane, ĂągĂ©e de huit ans, victime d’une tradition barbare justifiĂ©e par l’exemple du prophĂšte de l’islam, postĂ©e sur FB par Mustafa Kazemi, journaliste afghan, correspondant de guerre.

Le nom de la fillette est inconnu. Le journaliste fut informĂ© par sa source, amie d’un proche du « mari » bourreau, de la tragĂ©die silencieuse, vĂ©cue par cette petite mariĂ©e de huit ans. Un mĂ©decin travaillant dans l’ hĂŽpital principal de la ville de Zaranj, qui souhaitait rester anonyme, confirma avoir Ă©tĂ© au courant de « l’incident » mais qu’il Ă©tait trop tard pour intervenir, la rĂ©gion oĂč se produisit ce drame Ă©tant trop Ă©loignĂ©e de la ville.

Certains passages pourraient heurter la sensibilitĂ©, mettre mal Ă  l’aise des lectrices et des lecteurs, car ils dĂ©crivent crĂ»ment les relations sexuelles infligĂ©es Ă  la mariĂ©e-enfant par son « mari » bourreau.

En acceptant de publier ce rĂ©cit, Jean-Patrick a permis de rendre hommage Ă  cette petite inconnue, dont le fragile souffle de vie lui fut enlevĂ© par un homme brutal, un de ces nombreux dĂ©saxĂ©s du sexe, qui, pour assouvir ses dĂ©sirs pervers, en toute impunitĂ©, Ă  l’abri du coran, a suivi l’exemple de son prophĂšte en Ă©pousant une enfant de huit ans. Je remercie Jean-Patrick pour cela, car il fut au dĂ©but rĂ©ticent.

Selon la tradition religieuse, en vigueur dans certaines rĂ©gions afghanes, la fillette, originaire de Khashrood, province de Nimruz, fut vendue en mariage Ă  un mollah ĂągĂ© de 50 ans, dĂ©jĂ  mariĂ© et pĂšre de nombreux enfants. Son petit corps ne put supporter l’assaut sexuel brutal de son « mari » bourreau et la petite se vida de son sang, sans que ce dernier n’intervienne pour la sauver. Cet enfant n’avait pas plus de valeur Ă  ses yeux qu’un pauvre animal qui succombe sous le poids de sa charge.

Cette petite fille ne fĂȘtera jamais ses neuf ans, car elle ne survĂ©cut pas Ă  sa « nuit de noce ». Elle fut brutalement, sauvagement, assassinĂ©e par son « mari » dans l’accomplissement de son « devoir » conjugal.

L’enfant Ă©tait l’une des filles d’un homme dans la trentaine. Pour une raison inconnue, il donna sa fillette en mariage au mollah de son village contre une importante somme d’argent.

Les deux familles s’accordĂšrent sur le prix de vente de l’enfant, Ă  payer par le futur mari Ă  la famille de la « fiancĂ©e » et fixĂšrent la date du mariage, lors d’une rĂ©union tribale, puis elles organisĂšrent la fĂȘte de mariage, le mariage et le Nekah ( processus religieux au cours duquel une femme est officiellement mariĂ©e Ă  un homme) et la fillette devint la deuxiĂšme femme du mollah de 50 ans.

La mariĂ©e avait seulement 8 ans et ne connaissait rien au sexe, au mariage, Ă  l’amour charnel, Ă  la virginitĂ©, elle n’était encore qu’une enfant, et mĂȘme les adolescentes, dans cette rĂ©gion du pays, ne reçoivent aucune une Ă©ducation sur une vie sexuelle saine.

La fĂȘte Ă©tait terminĂ©e et le soleil se couchait, il Ă©tait temps pour le mollah, non pas de faire l’amour, car cela impliquerait d’éprouver un sentiment, mais d’avoir des relations sexuelles avec sa femme-enfant, d’assouvir ses dĂ©sirs pervers. Il ĂŽta les vĂȘtements de la petite mariĂ©e, se dĂ©shabilla et s’approcha de sa nouvelle femme, ĂągĂ©e rappelons-le de huit ans, pour accomplir son « devoir » d’époux.

Ce mollah, au physique imposant, Ă©tait lourd et avait un gros pĂ©nis. Il se jeta sur l’enfant et commença Ă  pĂ©nĂ©trer le vagin de la petite fille. AprĂšs plusieurs essais infructueux, le mollah se sentit frustrĂ©. Il ne voyait pas et ne voulait pas voir que l’enfant, qui allait bientĂŽt mourir, sous ses assauts furieux, Ă©tait trĂšs frĂȘle et toute menue et que l’orifice de son vagin Ă©tait trop Ă©troit. Seul l’assouvissement de son dĂ©sir malsain avait de l’importance. Le mollah prit alors le couteau, qu’il portait toujours avec lui dans sa poche, et dĂ©chira le vagin de l’enfant du clitoris vers le haut et vers le bas jusqu’à l’anus, afin d’agrandir suffisamment le vagin pour lui permettre de le pĂ©nĂ©trer.

La pauvre petite commença Ă  saigner, Ă  un trĂšs mauvais moment pour son « mari » mais l’infecte mollah Ă©tait beaucoup trop frustrĂ© de ne pouvoir la pĂ©nĂ©trer pour se soucier des consĂ©quences de son acte barbare, du saignement de l’enfant ou des blessures qu’il lui avait infligĂ©es. La fillette avait son foulard enfoncĂ© dans sa bouche, elle pleurait terrorisĂ©e, seule face Ă  ce monstre, elle ne pouvait pas crier, car il ne fallait pas Ă©veiller l’attention des personnes Ă  l’extĂ©rieur de la chambre. Selon la coutume, en vigueur dans certaines rĂ©gions afghanes, le mariĂ© doit montrer le morceau de tissu, avec lequel il a essuyĂ© le sang de l’hymen de sa femme, comme preuve de sa virginitĂ©.

Le mollah, en rien rebutĂ© par l’atrocitĂ© de son acte, entra son pĂ©nis dans le vagin de la petite fille, qui saignait dĂ©jĂ  abondamment, suite aux blessures et eut des relations sexuelles bestiales avec la petite, sur le lit couvert du sang de l’enfant, puis, il se leva et se nettoya.

L’enfant continuait Ă  saigner, mais personne n’était lĂ  pour l’aider. Le mollah ne pouvait pas demander de l’aide, car cela aurait Ă©tĂ© considĂ©rĂ© comme une honte pour lui et la famille de la petite mariĂ©e. Cette derniĂšre savourait tranquillement une tasse de thĂ© dans la piĂšce voisine. La petite mariĂ©e de huit ans continua Ă  saigner et entra dans un choc traumatique Ă  cause des hĂ©morragies internes provoquĂ©es par la violence des relations sexuelles forcĂ©es ». Elle se vida de son sang et le lendemain matin, au lever du soleil, l’ñme de la fillette, dont le petit corps fut profanĂ© et souillĂ© par un pĂ©dophile de la pire espĂšce, avait rejoint les Ă©toiles dans la voĂ»te cĂ©leste.

Le mollah dĂ©clara qu’ elle Ă©tait pĂąle et avait ses yeux grand ouverts quand elle exhala son dernier souffle. Elle gisait dans son sang, sur un drap rougi par le sang sĂ©chĂ©. Elle Ă©tait livide, car elle Ă©tait exsangue. Ses yeux Ă©taient ouverts, car elle avait tremblĂ© en mourant et ses mains Ă©taient en position de priĂšre, comme si elle rĂ©citait la priĂšre de sa propre mort.

Le mollah appela la personne, qui, par la suite, informera le journaliste de ce crime horrible, et lui demanda de nettoyer la chambre et de trouver une raison pour expliquer la mort de sa « femme » aux amis et membres de la famille. Comme cette personne Ă©tait un ami personnel du mollah, un proche, il fit ce qu’il lui demanda et se dĂ©barrassa des draps ensanglantĂ©s. Puis ils enveloppĂšrent le petit corps martyrisĂ© dans un drap blanc et informĂšrent la famille et les autres invitĂ©s de la mort de la « mariĂ©e ».

Ce matin lĂ , la famille de l’enfant pleura tristement sa mort, sans demander une quelconque explication sur la cause du dĂ©cĂšs, ils prirent le corps de la fillette pour le laver selon le rituel religieux musulman.

Le mollah, Ă©tant un homme d’une grande influence dans le village, les femmes qui lavĂšrent le corps de la petite fille n’osĂšrent pas demander une explication quant aux blessures autour du vagin de l’enfant. Vers 10 heures du matin, le corps de la petite mariĂ©e et morte de 8 ans fut emmenĂ© au cimetiĂšre et enterrĂ©e. Sa vie sur terre Ă©tait terminĂ©e et pour le mollah, la page Ă©tait tournĂ©e. Il y avait d’autres petites filles Ă  acheter pour satisfaire ses fantasmes sexuels.

L’ami proche du mollah, au courant du calvaire vĂ©cu par l’enfant, fut rĂ©voltĂ© et dĂ©cida de raconter l’histoire Ă  un ami, qui informa le journaliste. C’est ainsi, que le rĂ©cit de la terrible nuit de noce de la petite mariĂ©e de 8 ans parvint Ă  votre connaissance.

Le mollah aurait quand mĂȘme dĂ©clarĂ© avoir eu « mauvaise conscience » Ă  propos de ce qui s’était passĂ©. Il fut donc pardonnĂ©. AprĂšs tout, il ne s’agissait que du viol d’une petite fille innocente, un ĂȘtre sans importance, un objet sexuel 
 facilement remplaçable.

Le jour suivant la publication du rĂ©cit par Kazemi sur son mur Facebook, les lĂ©gislateurs pro-charia afghans bloquĂšrent une proposition de loi sur « l’élimination de la violence contre les femmes » qui aurait permis de pĂ©naliser le mariage avec des fillettes de 8-9 ans et de relever l’ñge lĂ©gal du mariage Ă  16 ans. Pour ces lĂ©gislateurs, cette proposition de loi sur le droit des femmes Ă©tait anti-islamique. DĂšs lors, il Ă©tait inutile d’en discuter.

D’autres petites filles de 8 ans continueront Ă  subir des mariages forcĂ©s avec des hommes beaucoup plus ĂągĂ©s, Ă  souffrir et Ă  disparaĂźtre dans l’indiffĂ©rence gĂ©nĂ©rale.

La promotion de la pĂ©dophilie et du viol via des fatwas, conformes Ă  la charia, autorisant le mariage des fillettes Ă  partir de 8 ans, malgrĂ© l’opposition de certains musulmans Ă©clairĂ©s, continue Ă  progresser dans le monde islamique, car l’interdire serait porter atteinte Ă  l’islam et Ă  son prophĂšte.

Invalider le mariage avec des fillettes reviendrait de facto Ă  invalider le mariage du prophĂšte avec AĂŻcha, la mĂšre des croyants, qui s’était mariĂ©e avec lui Ă  l’ñge de 6 ans, sans son consentement. Dans l’esprit de ces dĂ©gĂ©nĂ©rĂ©s, ces lĂ©gislateurs de la charia, les mariages avec des petites filles ne constituent en rien une atteinte aux droits fondamentaux des enfants, puisque dans l’islam, les femmes et les petites filles n’ont aucun droit, seulement le devoir de se soumettre aux hommes, mĂȘme si cela doit leur coĂ»ter la vie.

En Afghanistan, les provinces rurales sont rĂ©guliĂšrement le thĂ©Ăątre d’atrocitĂ©s, comme le cas de cette femme accusĂ©e d’avoir fui son domicile conjugal et dont l’exĂ©cution publique a Ă©tĂ© filmĂ©e, l’annĂ©e derniĂšre, dans un petit village de la rĂ©gion de Parwan. I y a aussi le cas de Bibi Aisha, dont le nez et les oreilles ont Ă©tĂ© coupĂ©s par son mari – un Taliban – dans la province d’Uruzgan, et qui a fait la une de l’hebdomadaire amĂ©ricain « The Time » avec pour titre. « Ce qui arrivera si nous quittons l’Afghanistan ». Le magazine a Ă©tĂ© vertement critiquĂ© pour cette couverture. Rien de surprenant. Il ne faut pas calomnier les Talibans, ces pieux serviteurs d’Allah.

Selon un rapport de Human Rights Watch, basĂ© sur les statistiques fournies par le MinistĂšre de l’IntĂ©rieur afghan, 600 femmes, victimes d’abus sexuels et de violence domestique, ont Ă©tĂ© accusĂ©es de « crimes moraux », pour avoir essayĂ© d’échapper Ă  leurs bourreaux et condamnĂ©es Ă  la prison.

Et la communautĂ© internationale, USA inclus, qui avait jusqu’alors fait pression pour amĂ©liorer le sort des femmes afghanes, est dĂ©sormais plus intĂ©ressĂ©e par les discussions avec les Talibans, engagĂ©es en catimini, afin de prĂ©parer progressivement leur retour au pouvoir, comme force politique, dans un futur gouvernement de coalition, que sur le sort des femmes et des fillettes afghanes.

Combien de soldats américains et alliés ont perdu la vie dans ce pays, en combattant les Talibans, pour y apporter la démocratie ?

Ils sont morts pour rien, car les Talibans reprendront le pouvoir, continueront Ă  faire rĂ©gner la terreur par l’application stricte de la charia, source de bonheur pour l’humanitĂ©, selon certains illuminĂ©s coraniques, et les premiĂšres victimes seront encore et toujours les femmes et les petites filles afghanes, et cette fois-ci, ce sera avec le consentement tacite de l’Occident, pourtant grands dĂ©fenseurs des Droits de l’Homme. Mais les intĂ©rĂȘts politiques semblent ĂȘtre guidĂ©s par des raisons obscures, qui nous sont incomprĂ©hensibles pour leur manque total de logique. Les sacrifiĂ©s sont toujours les gens du peuple, rarement ceux qui dĂ©cident, Ă  l’abri dans leurs bureaux cossus. Pour paraphraser Pascal, je pourrais Ă©crire. « La politique a ses raisons que la raison ignore »

RIP petite fille afghane inconnue, petite mariĂ©e d’un jour, dont la puretĂ© et l’innocence de ton enfance ne trouvĂšrent aucune grĂące auprĂšs de ton « mari » bourreau.

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Hadith 114 dans le SahĂźh de Muslim: AĂŻcha a dit :

“J’avais six ans lorsque le ProphĂšte m’épousa, neuf ans lorsqu’il eut effectivement des relations conjugales avec moi”. Puis elle relatait: “
 Ma mĂšre, ‘Umm RĂ»mĂąn, vint me trouver tandis que j’étais sur une balançoire. elles. se mirent Ă  me parer. J’avais Ă  peine fini, que l’EnvoyĂ© d’Allah entra, lorsqu’il Ă©tait encore le matin. Alors on me remit entre ses mains.”

Si vous avez des doutes Ă  propos (de la pĂ©riode d’attente) de vos femmes qui n’espĂšrent plus avoir de rĂšgles, leur dĂ©lai est de trois mois. De mĂȘme pour celles qui n’ont pas encore de rĂšgles. Et quant Ă  celles qui sont enceintes, leur pĂ©riode d’attente se terminera Ă  leur accouchement. Quiconque craint Allah cependant, Il lui facilite les choses.
Coran 65:4

Suite Ă  la publication de cet article, des lecteurs musulmans indignĂ©s prĂ©tendent que cette « tradition » barbare, autorisant le mariage des fillettes dĂšs l’ñge de 8 ans, n’existe que dans certaines rĂ©gions rurales, Ă©loignĂ©es de la civilisation, et n’a aucun rapport avec l’islam et le mariage de Mahomet avec la petite AĂŻcha.

Ces musulmans d’Occident ne connaissent pas leur propre religion.

Pour eux, j’ai rĂ©digĂ© cet article, que je leur recommande de lire. 1

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